En septembre 2017, nous passons une semaine de vacances dans la région de Beaucaire. Après ces quelques jours, nous nous rendons à Revel, pour finir nos vacances, avec notamment le congrès de l’AFC. Le 17 septembre, nous avons 3 heures de route pour rejoindre notre destination, alors que nous disposons d’une bonne partie de la journée. Nîmes étant sur le trajet, nous décidons d’y faire une halte pour nous restaurer et nous promener. Disposant seulement de quelques heures , nous ciblons trois monuments majeur à découvrir. Nous vous prosons de les découvrir ci-après.
Nous débutons cette étape par la pause déjeuné et un moment de détente sur l’Esplanade de Nîmes. Cet espace végétalisé est magnifique et donne directement sur les Arènes. Au centre, trône la fontaine du Pradier, une superbe fontaine de marbre blanc, inaugurée en 1851 et réalisée par le sculpteur James Pradier.
Fontaine Pradier, tout de marbre blanc, Inaugurée sur l’esplanade de Nîmes depuis 1851 (septembre 2017) 
Palais de justice, bâtis de 1836 à 1846, avec ses immenses colonnades inspirées de la Maison Carrée, aux abord de l’esplanade de Nîmes (septembre 2017) 
Gonepteryx rhamni L. – Le Citron (septembre 2017) 
Avenue Feuchère, dans le prolongement de l’esplanade de Nîmes (septembre 2017) 
Arènes de Nîmes, vue de l’esplanade de Nîmes (septembre 2017)
Les Arènes, site majeur de la ville de Nîmes
Après ce temps de repos, nous attaquons la visite, avec les arènes voisines. Nous en faisons le tour et admirons cette merveille d’architecture romaine. L’esplanade et dégagée et offre une vue sur l’ensemble du monument. C’est une situation idéale pour réaliser des photos, d’autant plus, que les lieux sont désert.
Les arènes de Nîmes sont un amphithéâtre romain construit vers la fin du 1er siècle, avec un début de construction vers l’an 90 après JC. Le monument mesure 133 m de long, pour 101 m de large, avec une hauteur de 21 m et composée de deux niveaux d’arcades. Soixante travées divise l’extérieur de l’amphithéâtre. La circulation dans l’édifice est assurée par de nombreux escaliers et 5 galeries circulaires. A l’époque gallo-romaine, plus de 23 000 spectateurs, installés sur 34 gradins, pouvaient assister aux combats des gladiateurs. Les arènes de Nîmes demeurent l’amphithéâtre le mieux conservé du monde romain.
Les Arènes de Nîmes (septembre 2017) 
Dans les arcades de l’arène de Nîmes (septembre 2017) 
Les Arènes de Nîmes (septembre 2017) 
Statue de Christian Montcouquiol dit « Nimeño II », figure de la tauromachie française, devant les arènes de Nîmes (septembre 2017) 
Détail verdoyant des arcades du second niveau des arène de Nîmes (septembre 2017) 
Les Arènes de Nîmes (septembre 2017)
La Maison Carrée
Après avoir fais le tour des arènes, nous prenons, à pied, de petites ruelles, qui nous mènent à la Maison carrée toute proche. Nous faisons le trajet par de petites rue, mais il est également possible d’emprunter le Boulevard Victor Hugo, plus direct, par lequel nous reviendrons sur nos pas.
La maison Carrée est un temple antique érigé au début du 1er siècle, qui a traversé les siècle avec des destinations variées. La Maison Carrée est le seul temple du monde antique en parfait état de conservation. Elle faisait partie du Forum, qui était le cœur économique et administratif de la cité antique. Le monument mesure 26 m de long, pour 15 m de large, avec une hauteur de 17 m et composée de grandes colonnades.
Maison Carrée, à Nîmes, avec ses colonnes (septembre 2017) 
Maison Carrée, à Nîmes, vue de face avec ses colonnes et son fronton (septembre 2017) 
Maison Carrée, à Nîmes, avec ses colonnes et le pronaos (septembre 2017) 
Maison Carrée, à Nîmes, détail des chapiteaux, en partie supérieure des colonnes (septembre 2017) Maison Carrée, à Nîmes, vue de face avec ses colonnes, son fronton et le pronaos (septembre 2017) 
Maison Carrée, à Nîmes, avec ses colonnes (septembre 2017)
La Tour Magne
Après le cœur de la cité, nous reprenons la voiture pour rejoindre la Tour Magne, dernier site à voir. Nous clôturons ainsi notre passage à Nîmes, avant de reprendre notre route pour Revel.
La tour Magne est bâtie sur le mont Cavalier. Cette tour gallo-romain est le plus imposant vestige de la très longue enceinte romaine qui ceinturait la ville de Nîmes. Le monument a été bâti à l’époque d’Auguste, autour d’une ancienne tour en pierres sèches de 18m datant de l’Age de pierre. A l’époque romaine, la tour atteint une hauteur de 36m et ne mesure plus aujourd’hui, que 32.5 m. L’ancienne tour pré-romaine est visible en négatif, de l’intérieur. La tour est maintenant entourée d’un parc où il fait bon se détendre.
Tour Magne, tour gallo-romaine, dans son écrin de verdure (septembre 2017) 
Villa avec une belle façade aux abords de la tour Magne (Septembre 2017) 
Tour Magne, tour gallo-romaine (septembre 2017) 
Vue intérieure de la Tour Magne, avec son escalier central (septembre 2017) 
Vue panoramique, du sommet de la Tour Magne, avec les toits de Nîmes et la Tour de l’Horloge (Septembre 2017) 
Les arènes de Nîmes, vues du sommet de la Tour Magne (septembre 2017) 
Vue panoramique, du sommet de la Tour Magne, avec Nîmes et la silhouette du Mont Ventoux, distant de 80 km (Septembre 2017) 
Vue panoramique sur Nîmes, du sommet de la Tour Magne (Septembre 2017) 
Vue panoramique sur Nîmes, du sommet de la Tour Magne (Septembre 2017) 
Vue intérieure de la Tour Magne, l’ancienne tour pré-romaine en négatif (septembre 2017) 
Tour Magne, tour gallo-romaine, au travers les oliviers (septembre 2017)
